jeudi 24 janvier 2013

Un bain pour résoudre des problèmes




Aujourd’hui je voudrais vous parler d’un livre que j’ai reçu au mois de décembre et qui m’a beaucoup surpris. Il s’agit de Bains et pratiques pour les temps difficiles de Lillie Lollia , sorti le 18 janvier aux Editions Bussière.

Dans toutes les civilisations les bains de plantes ou de feuillages ont été pratiqués pour donner santé et bien-être.
Héritière de cette longue tradition, Lillie Lollia répertorie dans son livre les pratiques naturelles et magiques des bains de plantes avec leurs innombrables vertus tels qu’ils sont encore utilisés de nos jours.
Ces plantes de l’Outre-mer ne sont reconnues à part entière dans la pharmacopée française que seulement depuis juillet 2011.
Lillie Lollia, détentrice du savoir des anciens a décidé de partager une partie de ce savoir.

Mais attention, l’auteur nous prévient :
« La force des herbes et plantes bien que puissantes et efficaces par elles-mêmes est augmentée par les éléments et les planètes dont elles prennent les influences.

Nous devons maîtriser un tant soit peu ce que nous faisons, car la nature reprend toujours ses droits.

Imaginez qu’une personne mal informée, non initiée, remplie des meilleures intentions vous conseille quelques « bons feuillages », en effet ces feuillages peuvent être extrêmement bénéfiques, mais le problème reste le même, il y a des caractères qui ne s’associent pas, ils s’opposent donc s’annulent, au final vous avez un résultat inférieur à ce que vous auriez pu obtenir dans le meilleur des cas.
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Le pire serait que ce bain au départ censé vous aider à obtenir des résultats optimaux soit neutre, voire négatif.

Faites bien attention, je ne le répéterai jamais assez, soyez prudent,

Il y a heureusement des personnes qui ont un véritable talent, un don pour servir et venir en aide aux autres... Ce don n’appartient à personne, nous devons tous manger, le seul but de ce cadeau des cieux est de venir en aide à autrui... trop souvent, on l’oublie.

Pour pouvoir en parler, j’ai fait des recherches au sein de nos traditions et ai même dû faire appel à la connaissance d’« experts » internationaux (caribéens, européens et américains).
Toutes les recettes qui composent cet ouvrage ont été testées pour vous assurer une plus grande fiabilité.»

Dans ce livre, on découvre une sélection de plantes que l’on trouve facilement comme l’ortie ou le tournesol, ou un peu moins facilement comme le sumaké.

L’auteur répertorie les pratiques naturelles et magiques des bains de plantes avec leurs innombrables vertus : bains fortifiants, de bienfaits, de chance et d’argent, bains pour les temps difficiles, bains de déblocage affectif ou professionnel, bains de démarrage, mais aussi frictions et cataplasmes.
Elle détaille également les différentes pratiques comme : l’utilisation et la signification des bougies en fonction des couleurs, les différents psaumes et prières à utiliser en fonction des problèmes rencontrés et les différents archanges concernés.

J’avoue que cette autre façon d’utiliser les plantes médicinales, correspondant plutôt à des pratiques  de magie blanche, m’a assez dérouté.
Mais, les frictions plus accessibles et faites à partir de plantes plus faciles à trouver m’ont plus intéressée. Et notamment le baume de menthe que je vais essayer très rapidement. Et qui sait, en fonction des résultats, il me donnera certainement envie d’aller plus loin et d’essayer les bains. 


mardi 23 décembre 2008

Attention ! Le stress a des effets sur votre glycémie

Vous me direz quel est le rapport entre le stress et la glycémie ?
Hé bien, contrairement à ce que vous pouvez penser, stress et glycémie sont liés. En effet, en période de stress, il peut arriver que le taux de glycémie dans votre sang évolue profondément et augmente chez les personnes sujettes au diabète. Vous pouvez être ainsi hyperglycémique, c’est-à-dire avoir du diabète ou l’augmenter, ou hypoglycémique, c’est-à-dire avoir moins de glucose dans le sang, ce qui peut provoquer des malaises.

Ce sont des recherches effectuées dans le milieu du travail qui ont abouties à cette conclusion. Notamment une étude sur le burn out (un état de stress extrême au travail) qui a montré que le risque d’avoir du diabète de type 2 était multiplié par 2 (Sources : e-santé).
En fait, il n’y a rien de vraiment surprenant dans cette corrélation. En effet, le stress provoque diverses pathologies, comme la fatigue, l’insomnie, les problèmes de bouche sèche, l’anxiété, les obsessions, l’agressivité, la déprime, l’irritabilité, les problèmes sexuels, les pertes de mémoire, etc.

Comme vous le voyez le stress agit à la fois sur votre physique et votre moral. Il interagit sur votre métabolisme et il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il agisse sur votre taux de glycémie. L’explication scientifique (pas encore prouvée totalement) la plus plausible est la suivante : le stress entraîne une libération d’insuline nécessaire pour réguler le taux de diabète ou une décharge d’hormones comme l’adrénaline, le cortisol ou l’hormone de croissance qui ont la particularité d’augmenter le taux de glucose dans le foie, d’où l’augmentation du diabète dans votre sang. Pour ce qui est de l’effet hypoglycémiant du stress, il serait dû au ralentissement du passage du contenu de l’estomac dans vos intestins : c’est comme si vous n’aviez pas mangé, donc le glucose circule plus difficilement dans votre sang.

Ainsi, si vous ne voulez pas courir le risque d’avoir du diabète, il paraît salutaire d’essayer de combattre votre stress. En effet, si vous n’agissez pas, vous risquez d’entrer dans un cercle vicieux dont il vous sera très difficile de sortir. Je m’explique : le stress engendre du diabète et le diabète engendre du stress et ainsi de suite. En effet, quand vous êtes diabétique, vous vous inquiétez, vous devez suivre un traitement, vous surveiller constamment, modifier vos habitudes de vie, bref, vous ajoutez du stress à votre stress.

Je sais, ce n’est pas facile de combattre le stress, surtout dans notre monde om tout va vite, où on doit faire plusieurs choses à la fois, où l’avenir nous angoisse. Mais, il existe des moyens d’adopter la zen attitude.

D’abord, il faut que vous preniez conscience que vous êtes stressé. Cela paraît évident mais c’est essentiel pour que vous sachiez précisément quoi combattre. Ainsi, si vous êtes sans arrêt fatigué, si vous êtes irritable, si vous être agressif, si vous êtes angoissé, déprimé ou si vous commencez à avoir des tocs, ces manifestations sont certainement dû au stress. Dans ce cas-là, prenez-vous en main et changer votre façon de vivre et de penser. C’est en apprenant à gérer votre stress que vous pourrez diminuer votre diabète.

Pensez à vous relaxer, à prendre du temps pour vous, à méditer. Pour ce faire, apprenez à gagner du temps. Ne vous lamentez pas sans arrêt sur votre sort. Ne faites pas des montagnes de petits problèmes qui peuvent se régler très rapidement. Soyez positif. Souriez. Pensez à vivre le moment présent. Ne vous focalisez pas sur le passé et sur l’avenir. Cherchez à rencontrer du monde et à exercer des activités créatives ou sportives. Faites-vous aider par des professionnels si vous ne parvenez pas à vous en sortir seul. Prenez un bon bain le soir avec des huiles essentielles. Faites-vous masser régulièrement. Pensez à vous.

Et surtout, pour finir, pensez à faire analyser votre taux de glycémie dans le sang en période de stress. Si le diabète est pris à temps, cela vous évitera bien des désagréments. Un diabète mal soigné est extrêmement dangereux pour votre santé !


La Méditation peut-être un moyen simple et rapide de destresser, pour en savoir plus, cliquez ici : http://url-ok.com/2127dd



Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

"Vous êtes autorisé à publier cet article sur votre site à la seule condition de garder le contenu intact, d’indiquer le nom des auteurs et de maintenir les liens cliquables".

jeudi 30 octobre 2008

Que faire quand la mémoire vous joue des tours ?

Je ne sais pas pour vous, mais moi, il m’arrive très souvent d’oublier des dates, des dates de naissance ou des noms de personne.
Vous vous retrouvez, par exemple, dans une réunion ou un séminaire, vous voyez arriver vers vous un individu, vous êtes persuadé que vous l’avez déjà vu quelque part mais, voilà, vous ne vous souvenez plus du tout de son nom ou de son prénom.
Cette situation peut-être assez embarrassante car l’individu en question peut s’offusquer que vous ne le reconnaissiez pas. Parfois, il peut être un personnage important, qui peut éventuellement vous venir en aide dans telle ou telle situation.

Tout ceci est une question de mémoire, de mémorisation. La mémoire peut très souvent nous jouer des tours. Certaines personnes ont la chance de retenir facilement les dates ou les noms. D’autres, comme moi, éprouvent de grandes difficultés à se souvenir de ces éléments primordiaux.

Etant moi-même victimes de ce désagrément, j’ai recherché des moyens pour m’aider à mémoriser les noms.
Le premier que j’ai trouvé, c’est de faire défiler, dans ma tête, les lettres de l’alphabet, les unes après les autres, à un rythme assez soutenu. Au bout, d’un certain temps, je parviens à tomber sur la bonne lettre, celle qui correspond à la première lettre de la personne dont je désire me souvenir. C’est une technique qui marche assez souvent. Par contre, si c’est un échec, bien souvent cela finit par m’énerver à force de passer et repasser l’alphabet dans ma tête, sans résultat. Cela finit par « me prendre la tête » et par envahir mes pensées des heures entières.

Pour éviter ces inconvénients, j’ai recherché une autre technique, qui agit plutôt en amont. Je m’explique…
Quand vous rencontrez une personne dans un séminaire ou une réunion quelconque, soyez très attentif et concentré. Cela vous permettra de retenir plus aisément son nom et son prénom. En effet, si vous avez la tête ailleurs, si vous regardez autour de vous, si vos pensées vagabondent, c’est le meilleur moyen de ne pas prêter attention au nom que l’on vous énonce.
C’est une évidence. Comme pour tout, si vous ne prêter pas attention aux paroles que l’on prononce, vous ne parviendrez pas à les retenir ! Rappelez-les vous les cours de vos professeurs à l’école. Si vous n’étiez pas concentré, vous ne les reteniez pas.

Etre concentré est la première chose. Si vous ne l’êtes pas suffisamment, ce qui peut parfaitement arriver, n’hésiter pas à faire répéter son nom à votre interlocuteur. Il ne s’en offusquera pas si vous êtes poli et si vous agissez avec tact. En plus, votre interlocuteur sentira que vous lui prêter attention et il en sera flatté.

Bon, maintenant, il se peut que la concentration ne suffise pas. Il peut arriver que les noms vous échappent quelques minutes après les avoir entendus. Rassurez-vous, vous n’êtes pas incurable. Il existe toujours des solutions pour mémoriser les noms.
Il s’agit d’un moyen mémo-technique. Quand vous rencontrez une personne, vous devez l’associer à des choses, des émotions, des impressions, le lieu de la rencontre, la couleur de sa carte de visite, etc. qu’elle produit sur vous. Ainsi, si Madame Durand est grande, a les cheveux blonds, a le regard froid, est habillée d’une certaine façon, vous devez associer ces différents éléments au nom « Durand ». Par exemple, dans « Durand », il y a « rand », pas loin de « grand ». Si vous l’avez rencontrée dans la salle de séminaire d’un grand hôtel, vous devez associer cette salle à ce nom. Et, ainsi de suite… Au final, vous aurez construit dans votre tête une phrase avec des éléments simples qui correspond à « Durand ».
Ainsi, dès que vous la reverrez, les images que vous avez associé au nom « Durand », vous reviendront à l’esprit et votre mémoire ne vous jouera plus des tours.
Cette technique peut vous paraître ardue, mais en la pratiquant, vous verrez qu’elle vous sera d’un grand secours dans pas mal de compartiments de votre vie.

Comme vous le voyez, vous pouvez toujours agir sur votre mémoire. Ne la laissez plus vous jouer des tours.

Apprenez à développer votre mémoire en cliquant ici : http://www.lulu.com/content/4693037

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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jeudi 21 février 2008

Faut-il avoir peur de l’auto-hypnose ?

« Auto-hypnose », « hypnose » sont des mots qui peuvent effrayer quand on ne sait pas exactement de quoi il s’agit. On a tous en mémoire ces scènes où l’on voit des pseudos médecins hypnotiser une assistance entière d’individus dans le but de leur faire faire des mouvements particuliers, prendre des positions incongrues, etc.
C’est vrai que si vous vous arrêtez à ces images sensationnelles, vous pouvez légitimement avoir peur de l’hypnose et vous en méfier.

Mais, en précisant, en approfondissant davantage le sujet, en définissant tout simplement ce que sont l’hypnose et l’auto-hypnose, la peur s’atténue dans la mesure où il n’y a rien de mystérieux, d’énigmatique là-dedans.

Ainsi, « l’hypnose » vient du grec « Hypnos », qui était le Dieu du Sommeil. Donc, a priori, l’hypnose a un rapport avec le sommeil. En fait, ce rapport est assez lointain dans la mesure où celui qui est hypnotisé ne dort pas, il est au contraire tout à fait conscient et lucide de tout ce qui passe autour de lui. Par contre, il ressemble, de l’extérieur, à une personne en train de dormir.
L’hypnotisé a une perception du monde extérieur différente : les bruits, les mouvements, le temps, etc. n’ont plus la même valeur qu’avant. Cela laisse la place à une plus forte concentration et à une réorganisation de l’attention. L’imagination, la libre association des idées prennent le dessus, un peu comme lors d’un rêve éveillé. Il peut fixer ses pensées sur une idée ou sur une sensation précises.
Ce nouvel état mental ne peut être obtenu qu’à partir du moment où l’hypnotisé est immobile, calme et détendu.
A partir de là, l’hypnotisé pourra atteindre un état (« l’état alpha ») dans lequel son subconscient pourra recevoir des suggestions de son conscient.
C’est là, précisément, le but de l’hypnose : permettre de suggérer à votre subconscient des changements qui vous seront profitables dans votre vie.

Donc, dans l’hypnose, il y a deux intervenants : l’hypnotisé et l’hypnotiseur. De nombreux individus se revendiquent hypnotiseur professionnel. Encore une fois, méfiez-vous, attention aux charlatans. Si cela peut un peu vous rassurer, sachez que l’hypnotiseur ne pourra jamais vous faire faire des choses que vous réprouvez car, durant la séance d’hypnose, vous restez totalement conscient.

Toutefois, si, malgré vos craintes, vous voulez quand même pratiquer l’hypnose, pourquoi ne pas vous intéresser à l’auto-hypnose ? En fait, comme son nom l’indique, l’auto-hypnose, c’est faire de l’hypnose, soi-même, sur soi. Cela peut paraître étrange mais si je vous en parle, c’est que c’est tout à fait faisable.
En effectuant régulièrement une série d’exercices, vous parviendrez à faire des suggestions à votre subconscient pour utiliser sa puissance, afin qu’un certain nombre de choses change dans votre vie. Cela devrait vous aider à surmonter plus facilement les obstacles, à vous améliorer…
Tout le monde est capable de pratiquer l’auto-hypnose. Sans le savoir, vous avez déjà dû vous trouver dans un état hypnotique : en perdant la notion du temps quand vous lisez un bon livre, en travaillant sur un projet très compliqué, quand vous écoutez un discours sans pouvoir vous en départir, etc.
Mais attention, utilisez l’auto-hypnose de manière positive. En effet, comme nos pensées déterminent ce que nous sommes, si vous émettez des pensées négatives à tout bout de champ, elles atteindront inévitablement votre subconscient et rejailliront sur vote vie, sur votre façon de vous comporter.

En résumé, l’auto-hypnose est une méthode qui peut vous conduire au bonheur, à avoir une vie meilleure, à vous libérer de certaines peurs… à condition de bien l’utiliser. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas dangereux car vous êtes seul face à vous-même.


Pour en savoir plus sur l’auto-hypnose et apprendre à l’utiliser, cliquez ici : http://club-positif.com/psp/produits/item/274a46389


Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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samedi 15 septembre 2007

Diminuez votre taux de cholestérol, est-ce possible ?

Le cholestérol fait peur. Tout le monde surveille son taux de cholestérol comme si c’était son ennemi juré. On a l’impression qu’il existe deux catégories de Français : ceux qui ont du cholestérol et ceux qui n’en ont pas !

Pourtant, le cholestérol n’est pas uniquement votre adversaire. Il est plutôt votre allié dans la mesure où il est nécessaire au bon fonctionnement de votre organisme.
Ce qu’il faut avant tout savoir sur le cholestérol, c’est qu’il existe du bon et du mauvais cholestérol. Et les deux sont vitaux : ce sont des composants sanguins indispensables à la construction et à la bonne santé de vos cellules.
Un taux élevé de bon cholestérol est essentiel. Et seul un taux élevé de mauvais cholestérol peut vous être néfaste. Vous devez absolument les surveiller de près pour éviter les problèmes.

Pour repérer un taux élevé de cholestérol dans votre sang, un certain nombre de signaux est facilement identifiable. On peut citer, par exemple : l’hypertension, des troubles de la vision, des bourdonnements d’oreilles, des fourmillements dans les jambes, dans les pieds ou autour des lèvres, un excès de poids. Le stress peut également être un facteur important d’augmentation de votre taux de cholestérol.

Si vous ressentez ce genre de désagréments, n’hésitez surtout pas à faire contrôler votre taux de cholestérol par votre médecin. Une simple prise de sang suffit. C’est peu de chose mais indispensable pour que vous soyez rassuré et tranquillisé.
En effet, un taux de cholestérol élevé peut avoir de graves conséquences. De la graisse s’accumulera sur la paroi de vos artères qui finiront par se boucher et provoquer des maladies cardio-vasculaires ou cérébro-vasculaires.
Pour éviter cette extrémité, il est donc primordial que vous surveilliez votre taux de cholestérol, que vous évitiez surtout de voir votre taux s’élever. Dans le cas où la prévention ne suffit pas, il existe des moyens de réduire votre taux.

Si votre taux de cholestérol est particulièrement élevé, votre médecin vous prescrira un traitement médical qui le fera baisser.
Une bonne hygiène de vie peut également vous aider. Cette dernière est largement préconisée en prévention.
Des tonnes de conseils sont diffusés régulièrement pour lutter contre le cholestérol.

Voici quelques astuces susceptibles de vous aider à ne pas avoir de cholestérol ou à diminuer votre taux.

Comme l’aurait très bien dit de La Palisse, votre taux de cholestérol sera élevé si votre alimentation est riche en graisse. C’est l’équation parfaite. Par conséquent pour réduire votre taux de cholestérol, vous devez adopter un régime alimentaire pauvre en graisse. C’est le point essentiel. D’autres aliments sont également conseillés : ceux riches en fibres qui ont tendance à diminuer le taux de cholestérol dans le sang.
Les légumes cumulent parfaitement ces deux avantages : haricots verts, petits pois, carottes, artichaut, oignons, ail, brocolis, etc. sont à privilégier.
Un apport important en fibres peut être effectué par le pain complet, les pâtes et le riz complets, le son d’avoine que vous pouvez saupoudrer sur vos aliments.

Les fruits sont également indispensables, notamment les pommes (une ou deux par jour, voire 1 kg si vous en êtes capable). Ajoutez-y des poissons gras type maquereau, thon, saumon, sardine, hareng, riches en acides gras et qui augmentent le bon cholestérol. L’huile d’olive, de colza auront le même effet. Buvez aussi du thé vert et du vin (à consommer avec modération), dont les tannins vont diminuer votre taux de cholestérol. Autres aliments conseillés : cornichons, concombres, piments, raisins.

Evitez la viande, les huiles de tournesol ou de maïs (car les graisses s’oxydent facilement), les aliments frits, le lait entier, le beurre, les œufs (pas plus de deux par semaine), l’alcool (même si certaines études montrent qu’un verre de bière ou de vin par jour peuvent augmenter le bon cholestérol. Mais prudence : ce n’est pas une raison pour boire sans modération !).
Si vous en êtes capable, adoptez un régime végétarien qui cumule tous les avantages.

Autres précautions à prendre. Si votre stress est la source de votre cholestérol, essayez de le réduire au maximum. Pour être plus détendu, faites du yoga, de la relaxation, tournez-vous vers le amma assis, la méditation.
D’autres thérapies naturelles sont également parfois suggérées pour diminuer votre taux de cholestérol : la réflexologie (demandez à un très bon praticien de stimuler les points qui correspondent à votre thyroïde et à votre foie), la visualisation auraient un effet intéressant.
Bougez également plus et votre taux de bon cholestérol augmentera. Vous n’êtes pas obligé de faire de l’exercice à outrance, de la marche une demi-heure par jour ou des séances de qi-gong ou de la gymnastique douce peuvent suffire. Certains chercheurs conseillent aussi d’arrêter de fumer.

Voilà, vous avez toutes les clés en mains pour prévenir ou réduire un taux de cholestérol élevé. Parlez-en à votre médecin avant tout ! Prenez-vous en mains. Adoptez une bonne hygiène de vie. Ainsi, le cholestérol ne vous fera plus peur.


Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

Pour avoir des développements plus précis sur le stress, la relaxation, la méditation, la visualisation, les bourdonnements d'oreille, etc., n'hésitez pas à visiter le site http://www.katisa-editions.com/

mardi 14 août 2007

La méditation en pratique (2ème partie)

Après avoir vu dans un précédent article ce qu’était la méditation ( « La méditation, qu’est-ce que c’est ? (1ère partie)»), passons à la pratique.
Voici quelques conseils qui pourront vous aider si vous désirez méditer.
Pour que la méditation soit efficace, il est nécessaire que soient réunis 5 éléments : le calme, la respiration, la position, la concentration et l’heure.

Le calme :
Pour qu’une méditation soit productive, vous devez la pratiquer dans le calme, c’est-à-dire, tenter, autant que vous le pouvez, de vous éloigner des bruits de la vie courante (circulation, télévision, radio, téléphone, etc.). Parfois, si vous ne disposez pas d’une pièce adaptée, vous serez peut-être amené à mettre une musique paisible, zen. Elle vous permettra de vous isoler du monde extérieur, de couvrir les bruits externes.
Les bruits de la nature (vague, oiseaux, branches qui bruissent) ne sont pas à exclure, bien au contraire. Vous pourrez méditer en pleine nature après quelques temps d’entraînement.
D’ailleurs, le calme complet est surtout conseillé quand vous débutez. En effet, peu à peu, pour parviendrez à méditer partout car vous arriverez plus aisément à vous isoler du monde extérieur.

La position :
Disons plutôt les positions. Il n’y a pas une position privilégiée pour méditer. A vous de trouver celle qui vous convient le mieux, qui vous paraît, à vous, plus efficace. Aménagez-vous un endroit pour méditer, propre et bien rangé, plutôt dépouillé pour éviter que votre regard ne soit « pollué » par des objets.
Vous pouvez ainsi méditer en position assise : en tailleur sur un tapis, un coussin ; sur un banc de méditation ; sur une chaise de préférence sans dossier. Vous devez prendre conscience de votre corps. Votre posture doit être précise : tête droite sans raideur, menton légèrement rentré, poitrine étirée vers le haut. Vous devez absolument garder cette position, donc la surveiller constamment. A force, cela sera un automatisme.
Vous pouvez également méditer debout : corps bien droit. Prenez toujours conscience de votre corps et surveillez constamment votre position. Cette dernière, qui demande une maîtrise parfaite, vous permettra de méditer un peu partout, essentiellement dans des endroits plutôt peu fréquentés.
Autre position : vous pouvez méditer en marchant (même simplement dans votre chambre). Vous devez marcher lentement, le corps bien droit, les deux mains sur votre ventre, les yeux fixés sur le sol. Encore une fois, vous devez prendre conscience de chacun de vos mouvements, de votre souffle. Chacun de vos pas doit être décomposé.
Enfin, vous pouvez méditer allongé : à plat sur le dos sur un tapis ou matelas fermes, sur une pelouse, joignez les genoux près de vos fesses, tête posée sur un coussin ferme, bras le long du corps. Cette position n’est toutefois pas très conseillée car vous risquez de vous endormir et de « gâcher » votre séance de méditation.

La respiration :
La respiration est le point essentiel de la méditation. Vous devez absolument la maîtriser et apprendre la respiration profonde et contrôlée. Vous devez prendre conscience de votre respiration. Votre objectif est de marquer les différentes phases que sont l’aspiration, l’expiration et la pause entre les deux. En inspirant et expirant profondément, vous devez suivre la circulation de l’air dans votre corps. (Katisa Editions à mis en ligne un audio sur la respiration profonde, avec des exercices pratiques, intitulé « Apprenez enfin à respirer ! » que vous pouvez télécharger sur le site http://www.katisa-editions.com, rubrique « Cadeaux gratuits »).
La respiration profonde et contrôlée vous permettra de retrouver votre calme, de destresser, d’éliminer les tensions et surtout de vous concentrer. Très vite, vous serez plus détendu. Et vous prendrez conscience que cette nouvelle façon de respirer vous aidera dans toutes les circonstances de votre vie en rétablissant l’harmonie entre votre corps et votre esprit.
Petit conseil : pour bien respirer, privilégiez les vêtements amples, dans lesquels vous ne vous sentirez pas compressé, boudiné.

La concentration :
Autre point important de la méditation, la concentration. Vous devez apprendre à vous concentrer afin de faire abstraction de tout ce qui vous entoure. C’est un peu comme être dans une bulle. Vous devez faire le vide total. Vous devez surtout vous focaliser sur le moment présent et ne pas vous laissez parasiter par des pensées diverses et variées. Vous ne devez pas penser à ce que vous avez fait hier, à ce que vous allez manger ce soir…
Vous devez uniquement accorder de l’importante au moment présent. Quand vous débutez, vous devez éviter de rechercher d’emblée le Nirvana. Vous devez simplement apprendre à être conscient de l’instant présent. C’est cela méditer. Plus tard, vous pourrez aller plus loin, vous transcender comme les yogis.

La meilleure heure pour méditer :
Vous pouvez méditer à tout moment de la journée mais il est préférable de le faire le soir car cela vous permettra de « digérer » votre journée de travail, de stress ; de vous recadrer. Le matin n’est pas un bon moment pour beaucoup car vous ressentez le stress de partir au travail, vous n’êtes pas bien réveillé.
Votre séance de méditation ne doit pas durer plus de 20 minutes. Plus serait d’abord contraignant et surtout demanderait des qualités de concentration exceptionnelles.

Voilà, maintenant à vous de jouer ! Suivez ces quelques conseils et vous réussirez à méditer, à vous recentrer, à retrouver l’harmonie entre votre corps et votre esprit, à affronter dans le calme toutes les circonstances négatives de votre vie.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N'hésitez pas à visiter le site : http://www.katisa-editions.com et à télécharger les cadeaux gratuits.