mardi 23 décembre 2008

Attention ! Le stress a des effets sur votre glycémie

Vous me direz quel est le rapport entre le stress et la glycémie ?
Hé bien, contrairement à ce que vous pouvez penser, stress et glycémie sont liés. En effet, en période de stress, il peut arriver que le taux de glycémie dans votre sang évolue profondément et augmente chez les personnes sujettes au diabète. Vous pouvez être ainsi hyperglycémique, c’est-à-dire avoir du diabète ou l’augmenter, ou hypoglycémique, c’est-à-dire avoir moins de glucose dans le sang, ce qui peut provoquer des malaises.

Ce sont des recherches effectuées dans le milieu du travail qui ont abouties à cette conclusion. Notamment une étude sur le burn out (un état de stress extrême au travail) qui a montré que le risque d’avoir du diabète de type 2 était multiplié par 2 (Sources : e-santé).
En fait, il n’y a rien de vraiment surprenant dans cette corrélation. En effet, le stress provoque diverses pathologies, comme la fatigue, l’insomnie, les problèmes de bouche sèche, l’anxiété, les obsessions, l’agressivité, la déprime, l’irritabilité, les problèmes sexuels, les pertes de mémoire, etc.

Comme vous le voyez le stress agit à la fois sur votre physique et votre moral. Il interagit sur votre métabolisme et il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il agisse sur votre taux de glycémie. L’explication scientifique (pas encore prouvée totalement) la plus plausible est la suivante : le stress entraîne une libération d’insuline nécessaire pour réguler le taux de diabète ou une décharge d’hormones comme l’adrénaline, le cortisol ou l’hormone de croissance qui ont la particularité d’augmenter le taux de glucose dans le foie, d’où l’augmentation du diabète dans votre sang. Pour ce qui est de l’effet hypoglycémiant du stress, il serait dû au ralentissement du passage du contenu de l’estomac dans vos intestins : c’est comme si vous n’aviez pas mangé, donc le glucose circule plus difficilement dans votre sang.

Ainsi, si vous ne voulez pas courir le risque d’avoir du diabète, il paraît salutaire d’essayer de combattre votre stress. En effet, si vous n’agissez pas, vous risquez d’entrer dans un cercle vicieux dont il vous sera très difficile de sortir. Je m’explique : le stress engendre du diabète et le diabète engendre du stress et ainsi de suite. En effet, quand vous êtes diabétique, vous vous inquiétez, vous devez suivre un traitement, vous surveiller constamment, modifier vos habitudes de vie, bref, vous ajoutez du stress à votre stress.

Je sais, ce n’est pas facile de combattre le stress, surtout dans notre monde om tout va vite, où on doit faire plusieurs choses à la fois, où l’avenir nous angoisse. Mais, il existe des moyens d’adopter la zen attitude.

D’abord, il faut que vous preniez conscience que vous êtes stressé. Cela paraît évident mais c’est essentiel pour que vous sachiez précisément quoi combattre. Ainsi, si vous êtes sans arrêt fatigué, si vous êtes irritable, si vous être agressif, si vous êtes angoissé, déprimé ou si vous commencez à avoir des tocs, ces manifestations sont certainement dû au stress. Dans ce cas-là, prenez-vous en main et changer votre façon de vivre et de penser. C’est en apprenant à gérer votre stress que vous pourrez diminuer votre diabète.

Pensez à vous relaxer, à prendre du temps pour vous, à méditer. Pour ce faire, apprenez à gagner du temps. Ne vous lamentez pas sans arrêt sur votre sort. Ne faites pas des montagnes de petits problèmes qui peuvent se régler très rapidement. Soyez positif. Souriez. Pensez à vivre le moment présent. Ne vous focalisez pas sur le passé et sur l’avenir. Cherchez à rencontrer du monde et à exercer des activités créatives ou sportives. Faites-vous aider par des professionnels si vous ne parvenez pas à vous en sortir seul. Prenez un bon bain le soir avec des huiles essentielles. Faites-vous masser régulièrement. Pensez à vous.

Et surtout, pour finir, pensez à faire analyser votre taux de glycémie dans le sang en période de stress. Si le diabète est pris à temps, cela vous évitera bien des désagréments. Un diabète mal soigné est extrêmement dangereux pour votre santé !


La Méditation peut-être un moyen simple et rapide de destresser, pour en savoir plus, cliquez ici : http://url-ok.com/2127dd



Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

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jeudi 30 octobre 2008

Que faire quand la mémoire vous joue des tours ?

Je ne sais pas pour vous, mais moi, il m’arrive très souvent d’oublier des dates, des dates de naissance ou des noms de personne.
Vous vous retrouvez, par exemple, dans une réunion ou un séminaire, vous voyez arriver vers vous un individu, vous êtes persuadé que vous l’avez déjà vu quelque part mais, voilà, vous ne vous souvenez plus du tout de son nom ou de son prénom.
Cette situation peut-être assez embarrassante car l’individu en question peut s’offusquer que vous ne le reconnaissiez pas. Parfois, il peut être un personnage important, qui peut éventuellement vous venir en aide dans telle ou telle situation.

Tout ceci est une question de mémoire, de mémorisation. La mémoire peut très souvent nous jouer des tours. Certaines personnes ont la chance de retenir facilement les dates ou les noms. D’autres, comme moi, éprouvent de grandes difficultés à se souvenir de ces éléments primordiaux.

Etant moi-même victimes de ce désagrément, j’ai recherché des moyens pour m’aider à mémoriser les noms.
Le premier que j’ai trouvé, c’est de faire défiler, dans ma tête, les lettres de l’alphabet, les unes après les autres, à un rythme assez soutenu. Au bout, d’un certain temps, je parviens à tomber sur la bonne lettre, celle qui correspond à la première lettre de la personne dont je désire me souvenir. C’est une technique qui marche assez souvent. Par contre, si c’est un échec, bien souvent cela finit par m’énerver à force de passer et repasser l’alphabet dans ma tête, sans résultat. Cela finit par « me prendre la tête » et par envahir mes pensées des heures entières.

Pour éviter ces inconvénients, j’ai recherché une autre technique, qui agit plutôt en amont. Je m’explique…
Quand vous rencontrez une personne dans un séminaire ou une réunion quelconque, soyez très attentif et concentré. Cela vous permettra de retenir plus aisément son nom et son prénom. En effet, si vous avez la tête ailleurs, si vous regardez autour de vous, si vos pensées vagabondent, c’est le meilleur moyen de ne pas prêter attention au nom que l’on vous énonce.
C’est une évidence. Comme pour tout, si vous ne prêter pas attention aux paroles que l’on prononce, vous ne parviendrez pas à les retenir ! Rappelez-les vous les cours de vos professeurs à l’école. Si vous n’étiez pas concentré, vous ne les reteniez pas.

Etre concentré est la première chose. Si vous ne l’êtes pas suffisamment, ce qui peut parfaitement arriver, n’hésiter pas à faire répéter son nom à votre interlocuteur. Il ne s’en offusquera pas si vous êtes poli et si vous agissez avec tact. En plus, votre interlocuteur sentira que vous lui prêter attention et il en sera flatté.

Bon, maintenant, il se peut que la concentration ne suffise pas. Il peut arriver que les noms vous échappent quelques minutes après les avoir entendus. Rassurez-vous, vous n’êtes pas incurable. Il existe toujours des solutions pour mémoriser les noms.
Il s’agit d’un moyen mémo-technique. Quand vous rencontrez une personne, vous devez l’associer à des choses, des émotions, des impressions, le lieu de la rencontre, la couleur de sa carte de visite, etc. qu’elle produit sur vous. Ainsi, si Madame Durand est grande, a les cheveux blonds, a le regard froid, est habillée d’une certaine façon, vous devez associer ces différents éléments au nom « Durand ». Par exemple, dans « Durand », il y a « rand », pas loin de « grand ». Si vous l’avez rencontrée dans la salle de séminaire d’un grand hôtel, vous devez associer cette salle à ce nom. Et, ainsi de suite… Au final, vous aurez construit dans votre tête une phrase avec des éléments simples qui correspond à « Durand ».
Ainsi, dès que vous la reverrez, les images que vous avez associé au nom « Durand », vous reviendront à l’esprit et votre mémoire ne vous jouera plus des tours.
Cette technique peut vous paraître ardue, mais en la pratiquant, vous verrez qu’elle vous sera d’un grand secours dans pas mal de compartiments de votre vie.

Comme vous le voyez, vous pouvez toujours agir sur votre mémoire. Ne la laissez plus vous jouer des tours.

Apprenez à développer votre mémoire en cliquant ici : http://www.lulu.com/content/4693037

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

jeudi 21 février 2008

Faut-il avoir peur de l’auto-hypnose ?

« Auto-hypnose », « hypnose » sont des mots qui peuvent effrayer quand on ne sait pas exactement de quoi il s’agit. On a tous en mémoire ces scènes où l’on voit des pseudos médecins hypnotiser une assistance entière d’individus dans le but de leur faire faire des mouvements particuliers, prendre des positions incongrues, etc.
C’est vrai que si vous vous arrêtez à ces images sensationnelles, vous pouvez légitimement avoir peur de l’hypnose et vous en méfier.

Mais, en précisant, en approfondissant davantage le sujet, en définissant tout simplement ce que sont l’hypnose et l’auto-hypnose, la peur s’atténue dans la mesure où il n’y a rien de mystérieux, d’énigmatique là-dedans.

Ainsi, « l’hypnose » vient du grec « Hypnos », qui était le Dieu du Sommeil. Donc, a priori, l’hypnose a un rapport avec le sommeil. En fait, ce rapport est assez lointain dans la mesure où celui qui est hypnotisé ne dort pas, il est au contraire tout à fait conscient et lucide de tout ce qui passe autour de lui. Par contre, il ressemble, de l’extérieur, à une personne en train de dormir.
L’hypnotisé a une perception du monde extérieur différente : les bruits, les mouvements, le temps, etc. n’ont plus la même valeur qu’avant. Cela laisse la place à une plus forte concentration et à une réorganisation de l’attention. L’imagination, la libre association des idées prennent le dessus, un peu comme lors d’un rêve éveillé. Il peut fixer ses pensées sur une idée ou sur une sensation précises.
Ce nouvel état mental ne peut être obtenu qu’à partir du moment où l’hypnotisé est immobile, calme et détendu.
A partir de là, l’hypnotisé pourra atteindre un état (« l’état alpha ») dans lequel son subconscient pourra recevoir des suggestions de son conscient.
C’est là, précisément, le but de l’hypnose : permettre de suggérer à votre subconscient des changements qui vous seront profitables dans votre vie.

Donc, dans l’hypnose, il y a deux intervenants : l’hypnotisé et l’hypnotiseur. De nombreux individus se revendiquent hypnotiseur professionnel. Encore une fois, méfiez-vous, attention aux charlatans. Si cela peut un peu vous rassurer, sachez que l’hypnotiseur ne pourra jamais vous faire faire des choses que vous réprouvez car, durant la séance d’hypnose, vous restez totalement conscient.

Toutefois, si, malgré vos craintes, vous voulez quand même pratiquer l’hypnose, pourquoi ne pas vous intéresser à l’auto-hypnose ? En fait, comme son nom l’indique, l’auto-hypnose, c’est faire de l’hypnose, soi-même, sur soi. Cela peut paraître étrange mais si je vous en parle, c’est que c’est tout à fait faisable.
En effectuant régulièrement une série d’exercices, vous parviendrez à faire des suggestions à votre subconscient pour utiliser sa puissance, afin qu’un certain nombre de choses change dans votre vie. Cela devrait vous aider à surmonter plus facilement les obstacles, à vous améliorer…
Tout le monde est capable de pratiquer l’auto-hypnose. Sans le savoir, vous avez déjà dû vous trouver dans un état hypnotique : en perdant la notion du temps quand vous lisez un bon livre, en travaillant sur un projet très compliqué, quand vous écoutez un discours sans pouvoir vous en départir, etc.
Mais attention, utilisez l’auto-hypnose de manière positive. En effet, comme nos pensées déterminent ce que nous sommes, si vous émettez des pensées négatives à tout bout de champ, elles atteindront inévitablement votre subconscient et rejailliront sur vote vie, sur votre façon de vous comporter.

En résumé, l’auto-hypnose est une méthode qui peut vous conduire au bonheur, à avoir une vie meilleure, à vous libérer de certaines peurs… à condition de bien l’utiliser. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas dangereux car vous êtes seul face à vous-même.


Pour en savoir plus sur l’auto-hypnose et apprendre à l’utiliser, cliquez ici : http://club-positif.com/psp/produits/item/274a46389


Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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